Vingt voix "a cappella"


Cliquer sur l'affiche pour le site de Fiamme Musicali
Samedi 27 août 2016, à 20 h 30,
Eglise d'Ailhon
 
Fiamme Musicali
"Grand Ecart... "
de Monteverdi à Lauridsen

Ensemble vocal dirigé par
Elizabeth Jacquemin



Fiamme Musicali est un ensemble vocal mixte fondé en 2013 et dirigé par Elisabeth Jacquemin, professeur de chant et chef de chœur. A la recherche de créativité musicale, d’écoute mutuelle et de beauté vocale mais aussi du plaisir de chanter ensemble, la vingtaine de chanteurs amateurs qui le composent unissent leurs voix et leurs personnalités pour servir un répertoire "a cappella" allant de la Renaissance au contemporain. Les chanteurs de Fiamme Musicali sont autonomes dans l’apprentissage, attentifs à la technique vocale et aiment approfondir l’interprétation de chacune des pièces étudiées. Ils tiennent aussi pour essentielle la convivialité du groupe et font de chaque répétition un moment joyeux d’amitié partagée. 
Le programme de cette année est composé des œuvres suivantes : 

En première partie : 
Monteverdi (1547-1643)  a un giro sol, o primavera 
Marenzio (1553-1599) gia torna 
Scarlatti (1660-1725)  O morte, 
Mantijârvy : Come away et Lullaby (extrait des Shakespeare songs

Puis ensuite  
- soit les 6 Madrigaux de Lauridsen 
- soit 4 chansons de Reynaldo Hahn, Poulenc : Salve Regina, Gjeilo : Northern Lights, Unicornis. 


Elisabeth Jacquemin, professeur de chant et chef de chœur:

"J'ai participé à des stages avec Helmut Lipps, et me suis passionnée pour les techniques vocales novatrices que celui-ci a introduites en France. J'ai travaillé ma voix et pratiqué le chant choral avec l’Ensemble Vocal de Bourgogne sous la direction de Bernard Têtu. J'ai commencé très jeune à expérimenter et, dans cette optique, me suis rapprochée de médecins, de kinésithérapeutes et d’orthophonistes pour acquérir des connaissances précises de physiologie. En parallèle, j'ai suivi un enseignement auprès d’un professeur de yoga, pour approfondir les notions de postures, d’énergie, de souffle. De 1986 à 1992, j’ai travaillé pour le centre d’Art Polyphonique de Bourgogne, assurant les cours de technique vocale au conservatoire de Mâcon. Installée depuis 1991 dans l’Hérault, j’interviens auprès de plusieurs chœurs en Languedoc. J’assure régulièrement des stages de chant choral. Je dirige mon propre ensemble vocal, Fiamme Musicali, à Montpellier, où je propose des sessions ateliers consacrées au madrigal. La variété de mes approches et de mes recherches alliée à une riche expérience pratique m’ont permis d’élaborer une méthode spécifique et originale. Mon enseignement, axé sur la maîtrise du souffle, part du corps pour aller vers l’expression vocale la plus juste, dans le respect des personnalités et le plaisir de la musique."

Tarif : 12  €,  Tarif réduit : 8 €


Dans l'intimité des sous bois et des prairies

"Secrets de nature"                                                     
Salle de la Tribune (à côté de l'église)
Exposition photographique de Simon Bugnon               
du 25 juillet au 1er août 2016tous les jours de 10h à 18h

Pendant tout l'été 2016, la communauté de communes du Vinobre proposera une exposition de photographies de Simon Bugnon qui circulera dans huit de ses neuf communes (voir détail sur l'affiche).
Elle sera visible à Ailhon du 25 juillet au 1er août.
En Ardèche et ailleurs, on ne présente plus Simon Bugnon, dont les paysages et les portraits intimes de l'Ardèche sont reconnus, notamment lors de prestigieux festivals de photographie consacrés à la nature.
"Secrets de nature" est une sélection de portraits de quelques uns des petits animaux qui peuplent l'Ardèche, et notamment le territoire du Vinobre. On passe sans les voir, mais quand l'oeil de Simon Bugnon les capture, on observe tout un étrange et superbe bestiaire souvent insoupçonné.
S'intéressant à leurs gestes et aux détails de leur curieuse anatomie, Simon Bugnon propose ainsi de découvrir dans l'intimité les secrets que la nature pourtant ne cache pas.
Il faut seulement le regard du photographe pour les découvrir.

Quand la terre fait l'histoire, et réciproquement...

"Travailler notre terre, hier et aujourd'hui"
Parcours sur l'histoire de l'agriculture en Ardèche 
 

dans l'église
du 1er au juillet au 31 août 2016tous les jours de 10h à 18h


Du 17 au 25 mars 2016 s'est déroulé le premier Festival d'Histoire organisé par la communauté de communes du Vinobre. Le thème en était l'histoire de l'agriculture en Ardèche, du néolithique à nos jours. Conférences, films et spectacles se sont succédés et cette première édition a connu un succès qui en appelle déjà un autre.
Pour ce festival, l'association Mémoire d'Ardèche Temps Présent a préparé une exposition retraçant les grands moments et les principales productions agricoles de l'Ardèche. Les historiens Pierre Ladet et Alain Martinot ont ainsi présenté de façon attractive et abordable le résultat de leurs recherches sur des thèmes comme l'éducation du vers à soie, la viticulture et des périodes marquantes comme la révolte du Roure, l'hécatombe de la première guerre mondiale, la résistance pendant la seconde..
.
"Depuis l’Antiquité la présence de l’homme est attestée sur les terres qui forment aujourd’hui la communauté de communes du Vinobre et ses neuf communes. Si les familles des seigneurs, comme les Vogüé, ont marqué de leur empreinte la vie et le paysage, ce sont bien les « ménagers » chers à Olivier de Serres qui ont peu à peu transformé les pentes et les plaines en terres agricoles. Le mot culture prend ici ses deux sens. Car ces ménagers, petits propriétaires de leurs terres, transmises de génération en génération par mariages et testaments, si possibles agrandies, ont en même temps géré les besoins de leurs communautés se réunissant entre eux devant l’église paroissiale, dans le cimetière comme pour associer les anciens à leurs décisions. Ce faisant ils ont engendré une culture propre, la nôtre.
Parfois, la vie, dure, devenait insupportable. Et la rumeur aidant, ce fut la révolte de Roure de 1670 qui souleva les villages du Vinobre contre l’administration royale supposée avoir décidé un nouvel impôt alors que régnait la disette. D’Artagnan, pas celui d’Alexandre Dumas, le vrai, fut envoyé réprimer la révolte avec force.
Par delà ces épreuves, la population paysanne de nos contrées poursuivit son ascension vers un mieux être longtemps resté relatif. Les XVIIIe et surtout XIXe siècles ont connu alors une démographie galopante qui explique les nombreuses terrasses, les faïsses, nécessaires pour nourrir les familles nombreuses.
Les maladies du ver à soie, cette richesse ardéchoise, de la vigne, du châtaignier, l’arbre à pain, ont eu raison de bien des fermes et provoqué l’exode rural en même temps que l’appel de main d’œuvre d’une société industrielle naissante.
Mais la volonté est demeurée, un nouvel élan est possible aujourd’hui.
L’exposition et le diaporama conçus par l’association Mémoire d’Ardèche et Temps Présent mettent en évidence, en valeur, les étapes de cette longue histoire de nos villages réunis aujourd’hui en communauté de communes. Une mise en valeur qui repose sur le document ancien, le commentaire, et de remarquables cartes qui décrivent l’évolution de nos paysages agricoles."
Pierre Ladet 

Les expositions de l'été 2016

"Art en faïsses"par les résidents de la M.A.S. "La Lande"         
aidés par leurs encadrants
(co-production avec : Association Béthanie, Mairie d'Ailhon)
                     
Sentier de découverte des Faysses et Arboretum                                                        
du 1er juillet à fin septembre 2016          
toute la journée
vernissage le vendredi 8 juillet à 14h

(exposition créée par Mémoire d'Ardèche Temps Présent pour le Festival d'Histoire du Vinobre - 17/25 mars 2016)
du 6 au 24 juillet 2016
tous les jours de 10h à 18h
vernissage le mercredi 6 juillet à 18h

Simon Bugnon, "Secrets de nature", photographies
(exposition itinérante de la communauté de communes du Vinobre)
Salle de la Tribune 
du 25 juillet au 1er août 2016                                            tous les jours de 10h à 18h                                                                                                                                         
Omer Arrijs, "Le petit peuple de la Garrigue", photographies
Salle de la Tribune
 
du 3 au 31 août 2016                                            
tous les jours de 10h à 18h
     


 Pour plus d'information sur ces expositions, 
cliquer sur les titres des expositions


Contacts                                                                                                                            Retour menu

Regarder, pour mieux voir ...

"Le petit peuple de la Garrigue"                                                    Salle de la Tribune (à côté de l'église)
Photographies d'Omer Arrijs                                du 3 au 31 août 2016tous les jours de 10h à 18h

Toutes les formes de la merveille.
Mystérieusement.
Éclatante ou s'insinuant.
... Le parcours vers la merveille.
Dans l'air ou dans la grotte.
Telle qu'elle est, la merveille.
Si on la voit, elle crève les yeux.
Comment a-t-on fait pour ne pas la voir?
Comment l'a-t-on à ce point perdue de vue?


Pour plus d'informations sur Omer Arrijs, cliquer sur les deux affiches
 

page FaceBook d'Omer Arrijs
« Dans la garrigue, j’ai rencontré d’innombrables insectes. Un foisonnement de vie.  De mouvement. Toutes ces petites vies, je les ai beaucoup regardées, appréciées, découvertes, photographiées. Souvent accroupi. J’ai circulé au milieu d’elles pendant des heures. Tous ces minuscules vivants m’ont eux aussi, eux d’abord, perçu, regardé, ressenti… Je ne saurai jamais ce qui s’est vraiment passé entre eux et moi. Quel est leur ressenti ? Que pensent-ils ? Qu’y a-t-il dans le regard d’une mante religieuse qui s’immobilise face à moi ?
Cette errance dans la garrigue m’a fortement impressionné.
Ma démarche n’est pas celle d’un entomologiste, ce que je ne suis pas. J’ai contemplé leur beauté. J’y ai trouvé beaucoup de bonheur. Je tente ici de transmettre cette émotion, ce regard.
Les insectes constituent environ 80% de tous les animaux de la terre. Environ 800.000 à 1.000.000 d’espèces ont été décrites. Bien plus n’ont pas été à ce jour déterminées. Ils sont apparus sur terre il y a 350 millions d’années. C’est une immense population. L’immense inventitivité de la vie tout près de nous, autour de nous.
Leurs noms font pas mal rêver : libellule, papillon, gazé, machaon, flambé, thècle, paon de jour, paon de nuit, éphippigère, sympetrum, mante religieuse, dectique, criquet, sauterelles,  œdipode, scarabée, coléoptère, bupreste…etc…etc…
Ajoutons les araignées… : agélène à labyrinthe, épeire, argiope lobée, argiope fasciée… etc… etc…

J’ai été touché par leur vitalité. Je ressentais que chacun d’eux est un être vivant complet, aussi complet que chacun de nous. Ils sont nature ; nous sommes nature. »
Omer Arrijs


 Le tirage sur papier « FineArt », encollé sur dibond (aluminium) est de Olivier Ferrocino (Image Concept)

Photographier les insectes.
Chaque événement ébranle mon univers. Il est l'autre. Le sabotage permanent.
Quelque chose d'essentiellement nouveau s'est produit. Un nouvel état de la matière. Dont je ne peux même avoir conscience.
Je vais continuer de photographier. Des choses. Sans savoir ce que je photographie.
Être imbibé. Se laisser imbiber. C'est peut-être quand même une sorte de recette qui n'en est pourtant pas une. Ce serait comme vivre par imprégnation.
Regarder.
Je ne cherche pas la photo extraordinaire. Car l'extraordinaire est dans l'ordinaire. À portée de regard.
C'est tout ordinaire et tout extraordinaire. Photographier la beauté proche. Pas seulement la beauté. En être ébloui. Et dépasser la beauté même.
La photographie arrête le mouvement vital. De cette façon elle le capte mieux encore. Dans l'immobilité tout le mouvement est là.
Avec les attitudes. Les rencontres. Les attentions. La sensibilité. Car les insectes et les araignées sont attentifs. Et ils nous regardent.
Il y a des récits de vie dans ces moments arrêtés. Des papillons se séduisent. Des mantes guettent. Des araignées sont en quête... Des flux de vie.
La photographie fige un instant de la lumière. Un instant de sa vertigineuse vitesse. De son jeu fou avec l'ombre. Avec la transparence. Si l'on regarde, c'est fou comme la lumière brille.
Ne pas se dépêcher.
Ne pas s'arrêter à la première impression.
Regarder.
Regarder même le détail.
Regarder aussi dans le flou.
On s'arrête. On prend le temps. On est dans le regard. On ne sait plus ce qu'on voit. On ne connaît plus ce qu'on croyait connaître. L'émotion est énorme. On n'a rien fait pour la forcer. Elle est venue.
Les sens s'éveillent. On sent qu'il y a là un inexplicable. Et c'est le trouble.
 

Quand vibrent les âmes...


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EncreS en ScènE

samedi 28 mai 2016, 20h30
Eglise d'Ailhon



« Portraits » 
écrit et interprété par Fanny Lermin 
et mis en musique par Bruno Auboiron 


Après le succès de "À fleur de Mots", EncreS en ScènE vous présente sa nouvelle création :
" Portraits ", lecture musicale et poésie vivante.

Fanny Lermin, poète et comédienne, croque sur scène des bouts d'humanité pudiquement saisis sur le vif : le vannier, fidèle et minimal, qui travaille en osier et manie le végétal, une petite vieille aux joues de groseille que les fleurs de son jardin retiennent en vie, un peintre dont les tableaux sont autant de prières naïvement exaucées, un forgeron qui est une masse d'humanité qui vous embrasse de ses flammes, le jeune homme qui plante des pierres et redresse la montagne.

Hautségur, à Meyras, le 23 avril 2016
Représentation de "Portraits" au château de
Portés par la musique de Bruno Auboiron, les personnages prennent tour à tour corps et vie au travers de la poésie tendre de Fanny.
Le décor : une vannerie, un grand tableau naïf, un oiseau de fer et quelques chapeaux...
Instruments. flûtes baroques et harmonique, clarinette et accordéon.
Lecture spectacle inspiré de "Âme d'Artistes" et "Âme de Paysans", deux premiers volumes de la collection "Portraits Ardéchois", publiés aux éditions EncreS en ScènE.
Durée : 50 minutes

Tarif : 10 euros, gratuit pour les moins de 16 ans
 


                                                                                                                                

Concert à deux voix

19 mai 2016, 18 heures 30, 
Eglise d'Ailhon
 
Minitour # 3

et 
chansons et guitares




Armelle Dumoulin et François Puyalto
A force de se croiser ici, là et encore ailleurs sur des planches inattendues, Armelle Dumoulin et François Puyalto ont décidé de se voir par un fait exprès. Ainsi le bassiste chanteur et la chanteuse guitariste font une petite tournée commune, la troisième à ce jour, qui permettra de voir comment se mêlent et s'entrechoquent leus animaux, leurs mots et leurs mélodies. Ils se partageront la soirée, mais on entendra parfois la voix d'Armelle apparaître sur une chanson incantatoire de François, ou une basse électrique appuyer avec bonheur les rondes chansons d'Armelle. On verra peut-être les ombres de Dick Annegarn, de Marianne Oswald et des autres...!

Le Minitour #3 conduira Armelle Dumoulin et François Puyalto de Clermont-Ferrand à Grenoble, en passant par Lyon et les Cévennes du 12 au 22 mai 2016. 
Il s'arrêtera à Ailhon le 19 mai. 

Tarif : 12 euros (10 euros tarif réduit)
Armelle Dumoulin Aujourd’hui Armelle Dumoulin tourne en duo avec Paul Jothy à la batterie. Elle commence à dire voire jeter ses textes sur scène à Paris vers 2000. Un de ses Jim Morrison fut Henri Michaux. Elle a fait une maîtrise de Lettres et une de Théâtre. Elle cherche à la fois vers le théâtre, (écriture et mise en scène) et vers la musique qui prend de plus en plus de place. Elle a rencontré sur le chemin les Plombiers du réel (Antoine Sahler, Alexandre Leïtao, Michel Taieb, Eric Mouchot) avec les quels elle fait un 1er album : « Est-ce nous ? » (2009). Elle joue du hautbois dans les grandes occasions. Elle fait également partie des Soeurs Sisters, créations de divers spectacles, dont « Les magnifiques » et « Eloge du réel ».
Son 2ème album, réalisé par Antoine Sahler et construit avec Gael Delpech : « Les Armelles Dumoulin » (2013), est Coup de coeur du Centre de la Chanson et Demi-finaliste du Prix Georges Moustaki. Son 3ème album « T’avoir connu » est sorti le 5 février, produit par Le Furieux, distribué par Musicast.
Événements notables : 2015 : Armelle Dumoulin en concert et le spectacle Les magnifiques en tournée. 2011 : – Ecriture d’un feuilleton de 10 épisodes pour France Culture (« La vésicule merveilleuse) avec Benjamin Abitan, Wladimir Anselme et Nicolas Flesch. Sortie du double album Les magnifiques avec Christian Paccoud et les Soeurs Sisters – Le curé de Camaret de Noël Tuot, joué avec B. Abitan tourne à travers la France- Création théâtrale au CEF de Ste-Menehould- Assistante pour la musique sur Le Vrai Sang de Valère Novarina créé au Théâtre de l’Odéon. 2010 –  2009 : Tournées CCAS, « Eloge du réel » au Théâtre du Rond-Point. Auparavant : 1ère partie des Têtes raides au Festival de Marne, Festival Taparole, concerts à La Java, Le divan du monde, Lavoir Moderne etc.. D’autres concerts à Beauvais, Amiens, Courzieu, Reims, etc…
A déjà répondu à des questions ou chanté sur les ondes de France Inter, France Culture, France Bleue Picardie, Creuse, Radio Nova et Paris Première..
. (cliquer ici ou sur son nom pour accéder à son site internet)
  
Né près de Paris en 1974, bassiste et co-arrangeur régulier d’Emily Loizeau depuis 2009, il a aussi travaillé aux côtés de Kyrie Kristmanson, Néry, Bertrand Belin, Héloïse Decazes (Arlt), Alexandra Gatica (Quartet Buccal).
Co-fondateur du groupe Taranta-babu ! avec lequel il signe deux albums aux côtés de Tatiana Mladenovitch (Fiodor Dream Dog), il a aussi écrit et enregistré pour l’image (Gainsbourg Vie Héroïque de Joann Sfar),  le conte (Pépito Matéo, Gilles Bizouerne).
En 2013 il rejoint le groupe Horse Raddish (album Electriklezmer). Il intègre en 2015 la Compagnie Dans Ses Pieds (jeune public) pour monter « Atu et Atoi » un spectacle en duo chant/basse/claquettes autour des chansons de Dick Annegarn (Gommette production). Encouragé par sa « marraine » Emily Loizeau il monte son propre projet chanson en 2011,  se produit dès lors en solo basse/voix,  ou en duo/trio avec Tarik Chaouach (Rhodes, mélodica) et Rafaël Koerner (batterie) C’est avec cette équipe qu’il enregistre un 1er EP « La vérité » (Ignatub) en 2015. Suite à sa programmation au Festi’Val de Marne (Premier pas), il en reçoit le soutien sous forme d’une aide à la diffusion et à la production. 
Il signe sur le label Le Furieux pour un album à venir (enregistrement prévu fin 2016). (cliquer ici ou sur son nom pour accéder à son site internet)