Rémi Le Bret expose "La Criée" à Ailhon, du 22 juillet au 3 août

Après l'exposition de la "Fresque de l'Après" de Claudine Belmas-Grégoire qui s'achève le 20 juillet, les Amis d'Ailhon proposent :



La Criée

photographies de Rémi Le Bret


du 22 juillet au 3 août
tous les jours de 14 h à 19 h
Salle de la Tribune (Ailhon)

en présence de l'artiste



Depuis l’âge de douze ans, Rémi Le Bret photographie les humains qui peuplent le monde.

Qu’il documente vint-quatre ans d’amitié avec le peintre et chanteur Allain Leprest, qu’il aille à la rencontre des habitants des pays « au dessous de la ceinture du monde », ou que ce voyageur depuis longtemps adopté par l'Ardèche s’en retourne à la Bretagne de ses racines, ses images racontent toujours avec sensibilité, émotion et attention, et toujours en beauté, de belles rencontres avec des femmes et des hommes de toutes origines, de toutes conditions.

« La photo, s’il n’y a pas de présence humaine, ça ne m’intéresse pas », disait-il quand il exposa, à Ailhon déjà, sa sélection de « Portraits du monde ». « S’il n’y a personne sur la photo, ce n’est pas pour ça qu’il n’y a pas de présence humaine ».



Cet été, à la Salle de la Tribune, près de l’église d’Ailhon, il exposera « La Criée » et accueillera le public tous les jours de 14 h à 19 h du 22 juillet au 3 août.

Sous forme de diptyques, cette série est à la fois un très beau document sur le monde de la pêche et le mode de vente ancestral du poisson, « à la criée ». Grâce à ses amis pêcheurs, il connaît bien et fréquente cet univers peu connu du public, où se négocie aux enchères la pêche à peine débarquée des chalutiers. Toujours curieux des hommes et de leur vécu, il a ainsi capté l’atmosphère et les moments forts tout autant que les instants apparemment anodins de ce marché traditionnel, que les nouvelles technologies ont fait évolué sans toutefois en perdre l’âme.

Associant des prises de vues principalement documentaires à des détails à la limite de l’abstraction, il plonge le spectateur au cœur de « La Criée ». On ressent l’amour des hommes pour leur métier, pourtant souvent pénible et dangereux. Et on sent presque les odeurs de poisson frais et l’iode de l’Océan.


Plus d’informations : www.remi-le-bret.fr



L’exposition commence le mercredi 22 juillet, jour du marché de producteurs locaux qui accueillera un groupe musical sur la place du village.


Entrée libre
dans le respect des conditions sanitaires
Port du masque fortement souhaité.



 
 


 

 Vendredi 16 juillet à 19 h


dans l'église d'Ailhon (07)

l'association des Amis d'Ailhon

propose un concert

de 


CANTANDO AL SUR
 
 
 
Tarif : 15 euros

Réservations possibles au 04 75 39 56 17

 
L’ensemble « Cantando al sur » propose un voyage musical en Amérique Latine (Chili, Argentine, Colombie, Vénézuéla, Cuba) à travers des musiques et chants issus du répertoire actuel et imprégnés de tradition populaire.

« Chanter au soleil comme la cigale après tout ce temps passé sous la terre,
Semblable au survivant qui revient de la guerre… »
(Extrait d’une chanson argentine)



L’ensemble « Cantando al sur » est composé de :


Brigitte Belmonte : chant, guitare
Maurice Chignier : chant, harpe, guitares, flûte
Thomas Chignier : chant, percussions
Julien Chignier : basse, saxophone


 
Au programme :
Vidala dolorosa (Atahualpa Yupanqui)
 Cascada (Digno Garcia)
Todo cambia (Julio Numhauser)
Mi burrito cordobes (Gerardo Lopez)
Duerme negrito (Traditionnel)
Cuculi (Traditionnel)
Canto del cuculi (Eduardo Carrasco)
Ya no somos nosotros (Patricio Manns)
Perfume de carnaval (Peteco Carabajal)
Tres Bailecitos (Traditionnel)
Como la cigarra (Maria Elena Walsh)
    Las manos de mi madre (Peteco Carabajal)
Pajarillo verde (Traditionnel)
Alfonsina y el mar (Felix Luna-Ariel Ramirez)
                 Estudio para charango (Mauro Nunez)
Barro tal vez (Alberto Spinetta)
Te Recuerdo Amanda (Victor Jara)
Cancion para Carito (Leon Gieco)
Colas y nicolas (Traditionnel)
Vuela como el aguila (Traditionnel)

 
 
Cet événement se déroulera dans le respect des conditions sanitaires en vigueur.
Les Amis d'Ailhon et la galerie Mercurart proposent :



Fresque de l'Après

peintures de Claudine Belmas-Grégoire


du 8 au 20 juillet
tous les jours de 13 h à 19 h
Salle de la Tribune (Ailhon)

entrée libre



À cette occasion, la galerie Mercurart édite le livre "Fresque de l'Après", peintures de Claudine Belmas-Grégoire et poèmes de François Grégoire, en vente sur place et via le site de la galerie : www.mercurart.com

L'exposition sera ouverte au public tous les jours de 13h à 19h.

Les visites se feront dans le respect des consignes sanitaires. Masques souhaités.
En raison de la persistance de la pandémie, il n'y aura pas d'inauguration officielle.

 
"Erreur", 70 x 90, © Claudine Belmas-Grégoire
            

Plus d'informations sur l'artiste et sur l'exposition, sa genèse et ses partenaires :

"Fresque de l'Après", l'exposition :

Claudine Belmas-Grégoire est née en Ardèche à la sortie de la guerre. Si elle n’y réside plus de manière permanente, elle se ressource plusieurs fois par an dans la maison du Cheylard qui la rattache à ses racines familiales.

C’est à Valence à l’École des beaux-Arts qu’elle s’est donnée les moyens d’accéder à une carrière dédiée aux Arts-Plastiques et plus spécialement la peinture. Elle le fit sous des formes diverses. La promotion, en créant la première galerie d’Art contemporain de la ville en 1966. L’éducation, en créant un cours dédié à la préparation des étudiants aux concours. Mais surtout, elle s’est consacrée dès sa jeunesse à la production d’une œuvre expressionniste aussi volumineuse que magistrale. Parmi le millier de pièces, à coté de celles qui ont rejoint les murs de ses acquéreurs, quelques-unes sont conservées au Musée de Valence.

Pour répondre à l’invitation qui lui fut faite à l’automne 2019 d’exposer à la Salle de la Tribune par « les Amis d’Ailhon », elle a réalisé une série de vingt toiles au format identique qui seront installées à la suite comme une fresque : la « Fresque de l’Après ».

De manière très prémonitoire, chacune d’entre elles et elles toutes ensemble nous invitent à prendre conscience de ce qui est à la source des émotions qu’elles procurent.

Dans le contexte de la pandémie qui touche le monde, cette œuvre est une contribution aux remises en cause sans lesquelles l’Après se résumerait à une fin.

La beauté et la pertinence de cette production a conduit la Galerie Mercurart à éditer un livre, véritable catalogue de l’exposition, agrémenté de poèmes de François Grégoire.


"Fresque de l'Après", le livre :

Le livre "Fresque de l'Après" (peintures de Claudine Belmas- Grégoire, poèmes de François Grégoire, préface de Jean-Claude Millet, 56 pages, 24 cm x 24 cm, 2020, éditions Mercurart) est commercialisé au prix de 26 euros TTC (+ frais de port éventuels), à la galerie, sur les lieux de l'exposition et sur le site internet de la galerie : www.mercurart.com


Entrée libre
dans le respect des conditions sanitaires