« De pèlerins en rescapés" », peintures de Robert Desnoux, 15 au 27 septembre, Ailhon

 Les Amis d'Ailhon

et la commune d'Ailhon


vous invitent à découvrir l'exposition :


De pèlerins en rescapés

les mains disent aux yeux

les secrets de l'esprit



peintures de


Robert Desnoux

 

Vernissage de l’exposition

le samedi 18 septembre à 18 h


en présence de l'artiste



Exposition ouverte tous les jours

du mercredi 15 au lundi 27 septembre


de 15 h à 19 h



Entrée libre


 
Pour clôturer la saison estivale d’expositions proposées par les Amis d’Ailhon, Robert Desnoux présentera une sélection récente de peintures réunies sous le titre « De pèlerins en rescapés » à la Salle de la Tribune, près de l’église d’Ailhon, du 15 au 27 septembre.
Personnage attachant et surprenant, Robert Desnoux a connu un parcours hors du commun avant de s’installer fin du vingtième siècle à Joyeuse pour se consacrer exclusivement à la peinture. Enfant, il débute au cinéma dans le film « Classe tous risques », de Claude Sautet aux côtés de Ventura et Belmondo. Puis ce sera le théâtre avec des personnalités prestigieuses qui le prendront sous leur aile : Anouilh, Brasseur, Barrault. Dans les années 60, il fréquente les noctambules du quartier Montparnasse : Ferré, Brel, Dewaere ... Après l’École supérieure des Beaux Arts de Paris et ses études de danse classique, il rejoint la troupe de Maurice Béjart, pour qui il réalise également des décors de ballets.

 

Depuis 1971, il se consacre exclusivement à la peinture.
« Celui qui a le contrôle du passé a le contrôle du futur », écrivait George Orwell, que cite Robert Desnoux.

Peu importe le support et sa taille (toiles, assemblages de bois, diptyques, triptyques), dans la continuité des grands maitres de la peinture, des artistes de Lascaux à Picasso en passant par les arts africains et asiatiques, il décline en séries le même sujet qu’eux : « l’animation de la paroi ».
 

Tantôt en privilégiant des dominantes bleues, jaunes ou rouges, dans des compositions qu’il élabore sur plusieurs mois, voire plusieurs années, cet amoureux de poésie qui déclame Apollinaire, Rimbaud ou Verlaine avec puissance et émotion, explore les profondeurs de l’âme et de la spiritualité avec des œuvres où quelques éléments figuratifs, comme ses silhouettes humaines dansantes, longues et élancées, se conjuguent à des élans abstraits puissants. Il y a quelque chose du chamanisme dans la peinture de Robert Desnoux. « Si je peins, c’est que je ne peux le parler », dit-il.
Nul doute que le connaisseur sera fasciné, ému et même envouté par les peintures habitées de Robert Desnoux.

L’inauguration de l’exposition aura lieu le samedi 18 septembre à 18 h, en présence de l'artiste.

Elle est à découvrir Salle de la Tribune, près de l’église d’Ailhon, tous les jours du 15 au 27 septembre, de 15 h à 19 h.

 
 
 
Visites dans le respect des conditions sanitaires en vigueur.
 

"Dorothy Day - changer l'ordre social", peintures de François Rieux

 

 Les Amis d'Ailhon et Mercurart


vous proposent de découvrir l'exposition


 
Dorothy Day


changer l'ordre social



une sélection de peintures inédites de


François Rieux
 



du mercredi 1er
 
au lundi 13 septembre

à la Salle de la Tribune
place de l'Église 07200 Ailhon


Exposition ouverte au public
tous les jours de 13 h à 19 h


Inauguration mercredi 1er septembre à 18 h

 
Entrée libre


Les visites se feront dans le respect des consignes sanitaires du moment.
 
La Pacifiste, 81 cm x 100 cm


L'exposition :

La galerie Mercurart s’est à nouveau engagée avec le peintre François Rieux, en s’appuyant sur la destinée singulière de Dorothy Day.
Celle-ci, née en 1897 aux USA, a consacré les premières années de sa vie à travailler comme journaliste dans des titres d’obédience socialiste, à s’engager sous des formes non violentes, meetings, piquets de grève, grève de la faim, pour des causes comme la lutte contre l’antisémitisme dès 1930, le racisme au point d’être ciblée par des suprématistes blancs, la guerre du Vietnam, le droit de vote des femmes.
Habbie Hoffman, l’a baptisée « première hippie » de l’histoire.

 

Don't Call Me a Saint, 73 cm x 54 cm


Après une conversion au Catholicisme, elle crée en 1933, avec le français Peter Maurin, le Mouvement Catholique Ouvrier (Catholic worker).  Le projet se matérialise par :  un journal du même nom, des Maisons de l’Hospitalité ouvertes à toute personne dans le besoin pour y trouver gite, couvert et vie communautaire et des fermes basées sur les mêmes principes.
En 2015, le Pape François l’a citée comme l’une des 4 figures majeures de l’histoire des États-Unis avec Abraham Lincoln, Thomas Merton et Martin Luther King.

 

La Distribution, 140 cm x 220 cm


François Rieux a peint une centaine de toiles de tous formats dans lesquelles il traduit à sa manière « forte » certains aspects de la condition humaine dans le contexte de la crise de 1929 qui se retrouvent malheureusement aujourd’hui.
Problématiques de survie : la nourriture, le toit, la sécurité.
Problématiques de misère sociale : la solitude, les ségrégations.
Problématique de sens de la vie.

 

Le dormeur de la dalle 89 cm x 116 cm

Il évoque aussi les raisons d’espérer : solidarités, communions autour des soupes populaires , retour à la terre, foi.
Il restitue quelques-unes des expressions iconiques de Dorothy : « Don’t Call Me a Saint” et la pacifiste (ici sur l'affiche) qui soutient César Chavez en 1973 en grève contre les conditions de travail des ouvriers migrants dans les champs des grands propriétaires blancs.


 L'homme bitume 81 cm x 100 cm

Une vingtaine de toiles sont exposées à la Salle de la Tribune ainsi que certaines de ses études. Les souscriptions sont ouvertes pour le livre à venir dont le titre est celui de l’exposition : Dorothy Day, Changer l’ordre social.
Les personnes intéressées peuvent d'ores et déjà le faire savoir en cliquant sur le lien suivant : manifestation d'intérêt pour le livre Dorothy Day, Changer l’ordre social.



Le Chien, 40 cm x 120 cm





Plus d’informations, illustrations et rendez-vous de presse :

Galerie Mercur@rt

124-128 route du Ranchet
quartier Le Puy
07200 Mercuer


06 03 78 66 37 
06 43 41 61 47
contact@mercurart.com
www.mercurart.com

« Aux détours des chemins ardéchois », peintures de Françoise Comandini, 25 au 30 aout, Salle de la Tribune, à Ailhon

 Les Amis d'Ailhon
et la commune d'Ailhon vous invitent à découvrir l'exposition :



" Aux détours

des chemins ardéchois 
"


peintures de


Françoise Comandini


 



tous les jours

du mercredi 25 au lundi 30 août


de 15 h à 19 h


en présence de l'artiste


Entrée libre




Inauguration officielle de l’exposition

le mercredi 25 août à 18 h


 
Du 25 au 30 août prochain, Françoise Comandini invite les amateurs d’art à l’accompagner en peinture « Aux détours des chemins ardéchois ».
Cette exposition présentera une sélection de paysages ardéchois : des villages, paysages du sud, du plateau ardéchois, au printemps, hiver ou automne. « Aucun personnage n'anime cette nature sauvage ou habitée de vieilles pierres. » Réalisées au couteau et au pinceau avec de la peinture acrylique, ces œuvres sont inspirées par les photographies prises par Françoise Comandini.

Après avoir pratiqué pendant plus de dix ans l’aquarelle avec les conseils d’André Pazdzerski, elle a choisi de se tourner vers l’acrylique, un support qu’elle affectionne tout particulièrement depuis deux ans, car il «  privilégie la spontanéité  et la surprise d'un rendu qui s'impose de lui-même »

Mais celle qui signe aussi parfois Tatou, en clin d'oeil à son enfance lointaine, s’éloigne de la réalité observée pour la « réinterpréter en couleurs et en lumière » qu’elle « jette » sur la toile avec spontanéité. Dans ces paysages, nul personnage, par crainte de trahir l’authenticité de la personne. L’homme est néanmoins présent par l’empreinte qu’il y laisse : constructions, travaux agricoles…
 

Les couleurs ne sont délibérément pas réalistes, car « on  ne peut pas faire mieux que la nature ». Au gré de sa sensibilité, de son ressenti, Françoise Comandini réinvente ce qu’elle voit avec les couleurs, notamment les bleus et les jaunes  qu’elle affectionne tout particulièrement. Une tendance vers l’abstraction qui se dessine peu à peu, pour ne pas rester « prisonnière de l’image ». « Il y a peut-être plus d’émotion dans l’abstrait ».

L’inauguration de l’exposition aura lieu le mercredi 25 août à 18 h, pendant le petit marché de producteurs locaux.

Elle est à découvrir Salle de la Tribune, près de l’église d’Ailhon, tous les jours du 25 au 30 août, de 15 h à 19 h en présence de l’artiste.
 
 
Visites dans le respect des conditions sanitaires en vigueur.

"Hommage à Marc Roure" du mercredi 18 au lundi 23 août, Salle de la Tribune, à Ailhon

 


Christine Verch, les Amis d'Ailhon

et la commune d'Ailhon vous invitent à un :



"Hommage à Marc Roure"


 sculptures bois et bronze

 


tous les jours

du mercredi 18 au lundi 23 août


de 13 h 30 à 19 h 30


Entrée libre




Inauguration officielle de l’exposition

le mercredi 18 août à 18 h 30,

en présence de

Jean-Paul Lardy, maire de Ailhon.
 
 
 Regard
 
 
Christina
 



 
En hommage à Marc Roure, artiste sculpteur ailhonnais décédé en septembre 2020, se tiendra une exposition de ses sculptures bois et bronze, Salle de la Tribune, à côté de l’église d’Ailhon, du mercredi 18 août au lundi 23 août.
Habitant le village depuis toujours, il était connu bien au delà des limites du département pour ses remarquables sculptures en bronze rehaussées de couleurs vives. On a ainsi pu voir régulièrement ses figures élancées d’élégantes femmes drapées de longues robes, danseuses et musiciennes aux poses gracieuses et vivantes, au château d’Aubenas, à Vals-les-Bains, à Thuyets, à Vinezac, à Montpezat, à Balazuc ou encore à Largentière avec ses amis de l’association Trajectoires. Il présentait également ses créations dans d’autres lieux prestigieux un peu partout en France, à Valence, au Puy-en-Velay, à Lyon, à Paris ou encore à Aix-en-Provence, pour ne citer qu’une petite partie des nombreux événements artistiques auxquels il était invité chaque année.

Cette exposition permettra de découvrir ou de revoir une sélection de sculptures de Marc Roure réalisées tout au long de sa belle et fructueuse carrière artistique. Il n’y aura aucune vente : juste le plaisir de revoir une partie de ses œuvres et celui des yeux et des sens.



 
Oh violon 
  
Bal des dentelles

Marc Roure était également un amoureux du patrimoine et de la nature. Après d’importants travaux de restauration et de mise en valeur, il avait fait découvrir aux membres de l’association Cévennes Terre de Lumière des fontaines, gourgues et béalières sur un de ses terrains à Ailhon, témoignages de siècles de construction traditionnelles.

 
Marc Roure à l'œuvre

C’est ainsi tout un ensemble de constructions en grès destinées à capter et canaliser l’eau qui a été littéralement mis en lumière. Tourné aussi vers l’avenir, il menait également, depuis trente ans, des expériences d’implantation de sélections d’essences d’arbres, notamment de pins maritimes, destinées tant à anticiper les effets du réchauffement climatique sur les paysages ardéchois, qu’à optimiser la qualité des arbres pour la filière bois.

Avec Christine Verch, il était également passionné par les régions froides, où ils s’étaient rendus plusieurs fois, au Groenland, près du Pôle Nord, et en Antarctique, au sud d’Ushuaia.

 
Visites dans le respect des conditions sanitaires en vigueur.
 

"Le NoM sur le bout de la langue" en concert le 13 août

 

 Les Amis d'Ailhon proposent un récital de :

 

Le NoM sur le bout de la langue

 

Vendredi 13 août à 20 heures,

dans l’église d'Ailhon  

 

 


Tarif : participation libre


L’ensemble « Le NoM sur le bout de la langue » proposera un récital entièrement consacré à 

Jean-Sébastien Bach.


Gautier Blondel à la viole de gambe, Sarah Rouppert au clavecin, Géraldine Chemin au traverso (flute traversière baroque), Eve-Marie Daoulas-Mamy chanteuse alto, et Louise Amazan au violoncelle, forment ce quintette complice et talentueux.

 

Au programme de ce concert : 

« La Passion selon Saint Jean BWV 245 : es ist vollbracht » , 

« La Passion selon Saint Matthieu BWV 244 : erbarme dich », 

« Cantate BWV 100 : was gott tut das ist wohlgetan », 

« Cantate BWV v 85 : Jesus ist ein guter hirt », 

« Cantate BWV 115: Bete aber auch dabei », 

« Sonate pour viole, flûte et basse continue BWV 1027 et 1039 »,  

 « Sonate pour flûte et basse continue en mi mineur BWV 1034 », 

«  Prélude de la suite anglaise en fa majeur pour clavier BWV 809 ».

 

 

Le concert se déroulera dans les conditions sanitaires en vigueur :

 

Le pass sanitaire sera exigé.



Jauge de l’église : 50 places assises

Réservation possible : 06 86 93 38 93 ou 04 75 39 56 17

 

 

Et jusqu'au 16 août, l'exposition "Déballage, un regard sur les collections de la galerie Mercurart" se poursuit, tous les jours de 13 h à 19 h.

 

Cliquer sur l'affiche pour plus d'informations

 

Pour connaître le détail de l'exposition "Déballage", cliquer sur l'affiche.