E.T. Confidentiel par Évelyne Trembleau-Haffner

 

 Après l'exposition "Peinture et Littérature" de Josiane Poquet qui s'achève le 14 septembre , les Amis d'Ailhon proposent :




E.T. Confidentiel
 
pastels
d'Évelyne Trembleau-Haffner


du 16 au 28 septembre
du lundi au vendredi de 15 h à 19 h
les samedi et dimanche
de 10 h 30 à 12 h 30, et de 15 h à 19 h

Salle de la Tribune (Ailhon)

en présence de l'artiste


 
De celle-ci aux grands yeux surpris, à celui-là qui semble observer, ou cet autre, perdu au loin, une galerie comme un cercle de connaissances. Une galerie de « têtes » qu’Evelyne Trembleau-Haffner nous invite à rencontrer. Invitation à une confrontation, par touches d’humanité, de souvenirs à reconstruire. Chemin de mélancolie ? dé-réalité ? Dans cette promenade-exposition, aux présences si prégnantes, comme un sourire en équilibre, des regards en demande. 
 
 

Éveline Trembleau-Haffner a présenté sa première exposition à 18 ans, à Oullins (69), où elle fut récompensée pour les huiles exposées.

Elle aborda ensuite différentes thématiques et techniques, s'exprimant notamment par l’aquarelle qu’elle exposa en 1987 en Ardèche. Depuis 4 ans, elle crée principalement avec la technique du pastel sec. Elle a notamment montré des séries sur les migrants, sur les lieux et habitations abandonnés d’Ardèche ou d’Italie, et sur les ours en peluches aux mines nostalgiques.

Suite à la découverte à Lyon du portrait qu’un artiste chinois avait fait de sa mère, elle a réalisé depuis septembre 2019 une impressionnante galerie de portraits, en gros plan, d’inconnus, où, de sa façon unique et originale, elle questionne la perte de mémoire et l’abandon.


Plus d’informations : site d'Évelyne Trembleau-Haffner



L’exposition commence le mercredi 16 septembre, jour du marché de producteurs locaux.


Entrée libre
dans le respect des conditions sanitaires
Port du masque obligatoire.



 
 


 

 Après l'exposition de "La Rumeur" de Jean-Philippe Vallon qui s'achève le 17 août, les Amis d'Ailhon proposent :




Escapades en gravures


de Daniel Van Cutsem


du 19 au 31 août
tous les jours de 14 h à 19 h
Salle de la Tribune (Ailhon)

en présence de l'artiste



Avec ses outils fins et acérés, Daniel van Cutsem grave le cuivre patiemment, contemplativement. Le temps ne compte pas pour réaliser le portrait d’un paysage ou d’une maison traditionnelle. Le trait est précis, d’une finesse incroyable. L’artiste dessine, trait après trait, point après point, ce qu’il aime en Ardèche, et magnifie l’œuvre de la nature et celle des hommes. Plusieurs fois récompensé de prix prestigieux, il maîtrise et dépasse les limites de la technique de l’eau forte, griffant le métal ou bien le caressant à main nue pour le lisser et en tirer les ombres et les lumières, révélant la mémoire et l’intimité, l’âme des objets, des paysages et des hommes. Quand il est penché sur la plaque de cuivre, dans son monde intérieur, le temps n’a pas de prise sur sa création, jusqu’à ce qu’il s’arrête et imprime quelques exemplaires numérotés.




Empreintes douces

Du cuivre au papier

 

Il y a la recherche d’une autre dimension qui transcende le quotidien, les soucis de la vie, un besoin de plonger plus loin, d’extirper de nous-mêmes une autre personne qui ne nous appartient même pas.

Je grave le temps qui passe, contemple le ciel, saisi la lumière, observe les arbres où je me laisse inspirer par l’air du temps.

J’avance tout en me délectant par les calades, entre les faysses. Je respire les odeurs, écoute les bruits de la vie dans la nature.

Il y a le besoin de créer une émotion.

Septembre 2011  Daniel Van Cutsem


Plus d’informations : Atelier Passions Croisées



L’exposition commence le mercredi 19 août, jour du marché de producteurs locaux.


Entrée libre
dans le respect des conditions sanitaires
Port du masque obligatoire.



 
 


 

Rémi Le Bret expose "La Criée" à Ailhon, du 22 juillet au 3 août

Après l'exposition de la "Fresque de l'Après" de Claudine Belmas-Grégoire qui s'achève le 20 juillet, les Amis d'Ailhon proposent :



La Criée

photographies de Rémi Le Bret


du 22 juillet au 3 août
tous les jours de 14 h à 19 h
Salle de la Tribune (Ailhon)

en présence de l'artiste



Depuis l’âge de douze ans, Rémi Le Bret photographie les humains qui peuplent le monde.

Qu’il documente vint-quatre ans d’amitié avec le peintre et chanteur Allain Leprest, qu’il aille à la rencontre des habitants des pays « au dessous de la ceinture du monde », ou que ce voyageur depuis longtemps adopté par l'Ardèche s’en retourne à la Bretagne de ses racines, ses images racontent toujours avec sensibilité, émotion et attention, et toujours en beauté, de belles rencontres avec des femmes et des hommes de toutes origines, de toutes conditions.

« La photo, s’il n’y a pas de présence humaine, ça ne m’intéresse pas », disait-il quand il exposa, à Ailhon déjà, sa sélection de « Portraits du monde ». « S’il n’y a personne sur la photo, ce n’est pas pour ça qu’il n’y a pas de présence humaine ».



Cet été, à la Salle de la Tribune, près de l’église d’Ailhon, il exposera « La Criée » et accueillera le public tous les jours de 14 h à 19 h du 22 juillet au 3 août.

Sous forme de diptyques, cette série est à la fois un très beau document sur le monde de la pêche et le mode de vente ancestral du poisson, « à la criée ». Grâce à ses amis pêcheurs, il connaît bien et fréquente cet univers peu connu du public, où se négocie aux enchères la pêche à peine débarquée des chalutiers. Toujours curieux des hommes et de leur vécu, il a ainsi capté l’atmosphère et les moments forts tout autant que les instants apparemment anodins de ce marché traditionnel, que les nouvelles technologies ont fait évolué sans toutefois en perdre l’âme.

Associant des prises de vues principalement documentaires à des détails à la limite de l’abstraction, il plonge le spectateur au cœur de « La Criée ». On ressent l’amour des hommes pour leur métier, pourtant souvent pénible et dangereux. Et on sent presque les odeurs de poisson frais et l’iode de l’Océan.


Plus d’informations : www.remi-le-bret.fr



L’exposition commence le mercredi 22 juillet, jour du marché de producteurs locaux qui accueillera un groupe musical sur la place du village.


Entrée libre
dans le respect des conditions sanitaires
Port du masque fortement souhaité.



 
 


 

 Vendredi 16 juillet à 19 h


dans l'église d'Ailhon (07)

l'association des Amis d'Ailhon

propose un concert

de 


CANTANDO AL SUR
 
 
 
Tarif : 15 euros

Réservations possibles au 04 75 39 56 17

 
L’ensemble « Cantando al sur » propose un voyage musical en Amérique Latine (Chili, Argentine, Colombie, Vénézuéla, Cuba) à travers des musiques et chants issus du répertoire actuel et imprégnés de tradition populaire.

« Chanter au soleil comme la cigale après tout ce temps passé sous la terre,
Semblable au survivant qui revient de la guerre… »
(Extrait d’une chanson argentine)



L’ensemble « Cantando al sur » est composé de :


Brigitte Belmonte : chant, guitare
Maurice Chignier : chant, harpe, guitares, flûte
Thomas Chignier : chant, percussions
Julien Chignier : basse, saxophone


 
Au programme :
Vidala dolorosa (Atahualpa Yupanqui)
 Cascada (Digno Garcia)
Todo cambia (Julio Numhauser)
Mi burrito cordobes (Gerardo Lopez)
Duerme negrito (Traditionnel)
Cuculi (Traditionnel)
Canto del cuculi (Eduardo Carrasco)
Ya no somos nosotros (Patricio Manns)
Perfume de carnaval (Peteco Carabajal)
Tres Bailecitos (Traditionnel)
Como la cigarra (Maria Elena Walsh)
    Las manos de mi madre (Peteco Carabajal)
Pajarillo verde (Traditionnel)
Alfonsina y el mar (Felix Luna-Ariel Ramirez)
                 Estudio para charango (Mauro Nunez)
Barro tal vez (Alberto Spinetta)
Te Recuerdo Amanda (Victor Jara)
Cancion para Carito (Leon Gieco)
Colas y nicolas (Traditionnel)
Vuela como el aguila (Traditionnel)

 
 
Cet événement se déroulera dans le respect des conditions sanitaires en vigueur.
Les Amis d'Ailhon et la galerie Mercurart proposent :



Fresque de l'Après

peintures de Claudine Belmas-Grégoire


du 8 au 20 juillet
tous les jours de 13 h à 19 h
Salle de la Tribune (Ailhon)

entrée libre



À cette occasion, la galerie Mercurart édite le livre "Fresque de l'Après", peintures de Claudine Belmas-Grégoire et poèmes de François Grégoire, en vente sur place et via le site de la galerie : www.mercurart.com

L'exposition sera ouverte au public tous les jours de 13h à 19h.

Les visites se feront dans le respect des consignes sanitaires. Masques souhaités.
En raison de la persistance de la pandémie, il n'y aura pas d'inauguration officielle.

 
"Erreur", 70 x 90, © Claudine Belmas-Grégoire
            

Plus d'informations sur l'artiste et sur l'exposition, sa genèse et ses partenaires :

"Fresque de l'Après", l'exposition :

Claudine Belmas-Grégoire est née en Ardèche à la sortie de la guerre. Si elle n’y réside plus de manière permanente, elle se ressource plusieurs fois par an dans la maison du Cheylard qui la rattache à ses racines familiales.

C’est à Valence à l’École des beaux-Arts qu’elle s’est donnée les moyens d’accéder à une carrière dédiée aux Arts-Plastiques et plus spécialement la peinture. Elle le fit sous des formes diverses. La promotion, en créant la première galerie d’Art contemporain de la ville en 1966. L’éducation, en créant un cours dédié à la préparation des étudiants aux concours. Mais surtout, elle s’est consacrée dès sa jeunesse à la production d’une œuvre expressionniste aussi volumineuse que magistrale. Parmi le millier de pièces, à coté de celles qui ont rejoint les murs de ses acquéreurs, quelques-unes sont conservées au Musée de Valence.

Pour répondre à l’invitation qui lui fut faite à l’automne 2019 d’exposer à la Salle de la Tribune par « les Amis d’Ailhon », elle a réalisé une série de vingt toiles au format identique qui seront installées à la suite comme une fresque : la « Fresque de l’Après ».

De manière très prémonitoire, chacune d’entre elles et elles toutes ensemble nous invitent à prendre conscience de ce qui est à la source des émotions qu’elles procurent.

Dans le contexte de la pandémie qui touche le monde, cette œuvre est une contribution aux remises en cause sans lesquelles l’Après se résumerait à une fin.

La beauté et la pertinence de cette production a conduit la Galerie Mercurart à éditer un livre, véritable catalogue de l’exposition, agrémenté de poèmes de François Grégoire.


"Fresque de l'Après", le livre :

Le livre "Fresque de l'Après" (peintures de Claudine Belmas- Grégoire, poèmes de François Grégoire, préface de Jean-Claude Millet, 56 pages, 24 cm x 24 cm, 2020, éditions Mercurart) est commercialisé au prix de 26 euros TTC (+ frais de port éventuels), à la galerie, sur les lieux de l'exposition et sur le site internet de la galerie : www.mercurart.com


Entrée libre
dans le respect des conditions sanitaires

 

Claude Imbert expose du 22 au 29 juin à Ailhon

Pour commencer cette saison 2020 d'expositions estivales à Ailhon, les Amis d'Ailhon proposent :



Repentirs & paraphes

monotypes de Claude Imbert


du 22 au 29 juin
tous les jours de 14 h à 18h
Salle de la Tribune (Ailhon)

en présence de l'artiste


L’histoire de la peinture regorge de ce que l’on appelle le «repentir», c’est à dire la première intention du peintre concernant une partie d’un tableau, mais qui ne le satisfaisant pas, revient dessus afin d’en effacer la trace et le remplacer par ce qui fera le tableau définitif. 

          
C’est cette démarche qui alimente ces monotypes, sauf que le repentir demeure en partie visible, devient le sujet, révélé à nouveau par des paraphes hiéroglyphiques à travers une couleur monochrome. 
Claude Imbert

Entrée libre
dans le respect des conditions sanitaires



 
 


 

Exposition "Arbres", par l'Atelier de Tartary", du 23 juin au 4 juillet à la Salle de la Tribune (Ailhon)

 

Dans le cadres des
les Amis d'Ailhon proposent :
 

 Arbres


photographies et peintures

de l'Atelier de Tartary

du 23 juin au 4 juillet 2021
 
tous les jours de 10 h à 12 h et de 15 h à 19 h
 
Salle de la Tribune (Ailhon)

Inauguration le mercredi 23 juin à 18 h
 
Entrée libre dans le respect des conditions sanitaires.
Port du masque obligatoire.
 
  
 
Depuis 23 ans, les Journées du Patrimoine de Pays et des Moulins mettent à l’honneur partout en France le bâti traditionnel, les sites et paysages régionaux et le patrimoine immatériel français. « L’arbre, vie et usages » est le thème de cette nouvelle édition qui se déroulera les 26 et 27 juin prochain.
Jean Ried, membre du groupe de l’Atelier de Tartary, a proposé à ses collègues peintres de préparer une exposition où chacun exprimera librement sa sensibilité et son ressenti pour les arbres.

 
Sonia Jouve
 
Pour cette exposition, le choix de la Salle de la Tribune, à Ailhon, s’est imposé avec évidence. En effet, la commune située dans les pinèdes est très sensibilisée aux problématiques du développement durable et de la protection et de la valorisation des espaces boisés, notamment avec la constitution d’une forêt communale qui, aujourd’hui, fait déjà plus d’une centaine d’hectares.
Marie-Christine Fayolle

L’Atelier de Tartary fut créé il y a une cinquantaine d’années par Jean Saussac. Puis son fils Gamon prit le relais.
Aujourd’hui, le groupe fonctionne en autonomie, partageant le loyer d’un espace situé à Pont d’Aubenas, dans le quartier de Tartary.
La richesse de l’atelier repose sur la convivialité, l’entraide, le regard bienveillant. Il ne s’agit pas d’une école, chacun s’exprime avec son propre talent, son style, sa culture. La motivation principale, la seule peut-être, est l’envie de peindre et de se retrouver pour partager ce plaisir.
Suzanne Blanc, Gwenn Bressot, Marie-Christine Fayolle, Nanou Imbert, Sonia Jouve, Bertrand Priour et Jean Ried se retrouvent ainsi tous les mardis après-midi pour partager un moment de création et d’échange.

Suzanne Blanc
 
L’exposition permet de se rendre compte de la diversité des talents et des sensibilités, associant des peintures et photographies qui explorent les limites de la figuration et de l’abstraction.
Pour celles et ceux que les démons du pinceau titillent, l’Atelier de Tartary peut encore accueillir deux ou trois peintres.
Renseignements : jean.ried@wanadoo.fr ou 06 08 48 39 46

 
Jean Ried
 
L’arbre
 

L’arbre c’est d’abord la forêt.
Aussi loin que l’on puisse remonter dans l’histoire de l’espèce humaine, la forêt semble déjà présente.
Le livre de Yuval Noah Harari « Sapiens. Une brève histoire de l’humanité. Albin Michel 2015 » nous apporte des précisions.
« Voici environ 300 000 ans, Homo erectus, les Néandertal et les ancêtres d’Homo sapiens faisaient quotidiennement du feu. Les humains disposaient alors d’une source de lumière et de chaleur fiable, ainsi qu’une arme redoutable contre les lions en maraude. Peu après, les hommes ont bien pu commencer à mettre délibérément le feu aux alentours de leur habitat. Un feu soigneusement maîtrisé pouvant transformer des fourrés stériles et infranchissables en pâtures de choix grouillant de gibier. »
 Ainsi le bois devint un élément fondamental du développement humain.
 «  Malgré les bénéfices du feu, les humains d’il y a 150 000 ans étaient encore des créatures marginales. Ils pouvaient maintenant effrayer les lions, se réchauffer quand les nuits étaient fraîches et , à l’occasion, brûler la forêt. »
 « La période qui va des années 70 000 à 30 000 vit l’invention des bateaux, des lampes à huile, des arcs et des flèches, des aiguilles (essentielles pour coudre des vêtements chauds). »
 «  Voici quelque 45 000 ans ils se débrouillèrent (les Sapiens) pour traverser la mer et débarquèrent en Australie, un continent où les humains ne s’étaient encore jamais aventurés. »
Plus proche de nous, au XIème siècle, le renouveau monastique qui se fait jour dans nos  contrées s’accompagne d’un développement de l’agriculture. En effet les moines étaient des gens de ressources, bon forestiers et bons exploitants, et on leur doit un certain défrichement forestier nécessaire au développement des zones de culture.
Mais les ressources en bois étaient indispensables pour le coffrage des voûtes en plein cintre à clé de voûte des constructions romanes, puis gothiques et dans la confection des grandes charpentes des cathédrales.
Plus, tard, les chênes de la forêt de Tronçais, dans le département de l’Allier, furent utilisés pour construire les navires qui allaient permettre les grandes découvertes du monde. Mais il y avait un souci de ne pas épuiser cette ressource et une gestion saine fut de rigueur.
De nos jours les forêts sont devenues plus pénétrables et elles ne sont plus le refuge d’animaux hostiles, sauf peut-être avec les sangliers, qui ont été réimplantés.
Et l’on trouve des arbres solitaires mais surtout des arbres dans les cités, près de la cathédrale Notre-Dame de Paris, autour du château de Craux ou simplement dans les villages comme à Faugères, dans le sud de l’Ardèche.
 Ils font, reconnaissons-le, le bonheur des peintres et des photographes, sensibles au romantisme et au graphisme naturel des arbres.

Jean Ried

  
De gauche à droite, six des membres de l'Atelier de Tartary : Bertrand Priour, Gwenn Bressot, Jean Ried, Nanou Imbert, Marie-Christine Fayolle et Sonia Jouve, photographiés par la septième, Suzanne Blanc, lors d'une exposition au Pôle de Services d'Aubenas.

Soirée d'hommage à Jean Ferrat

Dans le cadre de la semaine
d'hommage à Jean Ferrat,
 les Amis d'Ailhon vous proposent, 
en collaboration avec le Théâtre des Quinconces (Vals-les-Bains)
et le Fonds de Dotation Jean Ferrat :


Petites empreintes

Un spectacle avec Julie Rousseau, Thomas Pitiot et Viviane Arnoux à l'accordéon.


le mercredi 11 mars
à 20 heures
à l'Espace Roger Naud (Ailhon)


Tarif unique : 10 euros

Renseignements et Réservations : 
Maison Jean Ferrat 04 75 94 73 49 ou 06 15 02 10 85
O.T. Vals-Aubenas-Antraïgues (04 75 89 02 03) 
Mairie d'Ailhon et association des Amis d'Ailhon

Le poète est toujours là…
Quand la jeune génération de la chanson française s’empare des textes et musiques de Jean Ferrat...
Pour cette date anniversaire, des chanteurs compilent des reprises, des chansons connues et moins connues, avec leur propre sensibilité musicale. 
Pour les amoureux de Ferrat comme pour ceux qui le découvrent, les chansons proposées dans ce spectacle constituent une véritable mosaïque de sensibilités esthétiques, interprétées par des personnalités très diverses. Accompagnés à l'accordéon, ces chanteurs d’aujourd’hui s’approprient une partie de cet immense répertoire.
La beauté des paroles du poète et leur prise directe avec les questions de société qui nous taraudent encore aujourd’hui ne font aucun doute.
Un concert unique pour un grand moment d’émotion !